Alors c'est mal formulé et ça m'a amené à penser que c'était sûrement plus dû à l'amélioration de l'isolation, le déploiement de pompes à chaleur, etc... Non, l'étude est bien faite, (pas par Le Parisien comme ils le suggèrent mais par l’Agence européenne pour l’environnement). Ils mesurent le nombre de degrés-jour en dessous de 18°C. Les différences sont significatives et imputable entièrement à un réchauffement des hivers. Ils ne mesurent pas l'usage de chauffage, mais le besoin.
À voir si les périodes et lieux de comparaison ont été choisies de façon neutre mais c'est des périodes de 5 ans donc on lisse quand même des différences qui seraient dûes à une année exceptionnelle.