nikaro

joined 1 year ago
[–] [email protected] 2 points 3 months ago

À Genève, la loi Suisse ne permet que deux jours de télétravail pour les étrangers. Bah moi j'ai un peu postulé "par hasard", j'aimais bien la boite et leur challenge à résoudre pour postuler était sympa, donc je l'ai fais mais sans vraie volonté de postuler. Puis au final ça s'est fait quand-même et j'en suis bien content 😅

[–] [email protected] 1 points 3 months ago (1 children)

En gros, il n'y a pas encore ce qu'il faut pour gérer ton nom de domaine avec du code (avec un outil comme Terraform par exemple). Donc obligé de le faire à la main via l'interface Web pour l'instant. 😅

[–] [email protected] 3 points 3 months ago (5 children)

J'ai passé mon domaine principal chez eux (car je viens de commencer à y bosser). C'est très bien à l'exception près qu'il n'y a pas de provider Terraform/OpenTofu pour gérer les records "as-code" (pas impossible que je bosse sur le sujet un de ces quatres, les API sont déjà présentes, il y a plus qu'à développer).

[–] [email protected] 2 points 3 months ago

Si il y a des dégâts ce sera côté BookMyName je pense, c'est le plus gros (Scaleway) qui mange le plus petit normalement.

Sinon chez Scaleway je crois me rappeler qu'on ne peut pas gérer les enregistrements DS, donc il faudra faire une croix sur DNSSEC si tu héberges ta zone toi-même.

[–] [email protected] 3 points 3 months ago

C'est juste parce que Bolloré & co leur présentent les choses ainsi. Si on avait des médias de masse qui présentaient réellement les idées de gauche plutôt que "antisémites !!!", ils reviendraient probablement à gauche.

[–] [email protected] 2 points 4 months ago (1 children)

Je n'ai pas regardée l'entièreté de la vidéo encore, mais je suis confus à cause de la vignette. Etron Musk semble dire que c'est stupide d'utiliser l'hydrogène, donc étant donné qu'il est un tocard intersidéral, le contraire doit certainement être la vérité. Autrement dit l'utilisation de l'hydrogène est une bonne chose. Sauf que la vidéo semble aller dans ce sens également.

[–] [email protected] 6 points 4 months ago

And no smartphone in your pocket, of course.

[–] [email protected] 18 points 4 months ago

You can use KeePassXC (with a dedicated vault or not), synced by another mean (Nextcloud, Syncthing, Git, etc.).

[–] [email protected] 10 points 4 months ago

Venez aux prochaines élections on vote tous NPA ! On a jamais essayé.

[–] [email protected] 2 points 4 months ago

PS : le fondateur de NextDNS est un ancien de Cloudflare (si je me souviens bien, en tout cas d’une grosse boite américaine), donc attention à ne pas voir en eux des sauveurs du web mon plus.

[–] [email protected] 2 points 4 months ago (1 children)

NextDNS est un service payant, avec une offre gratuite de 300000 requêtes DNS. Pour une personne c’est largement suffisant.

Une fois le compte créé il y a des instructions d’installation pour les différentes plateformes et matériels.

Je l’utilise pour moi et ma famille pour le blocage des pubs, malwares, etc. via DNS. Et j’en suis satisfait. Mon conseil : ne pas avoir la main trop lourde sur les listes de blocage à activer, sinon il peut avoir des blocages de certaines fonctionnalités et/ou sites légitimes.

 

I'm looking forward to switch from Terraform to OpenTofu, but i have the impression that the ecosystem around it didn't catch up yet.

Did any of you already did the switch? If so, what do you use as a replacement for Terraform Cloud, the VSCode extension and/or terraform-ls?

For Terraform Cloud, the are many options: scalr, spacelift, etc. Spacelift looks nice as it can also run Ansible, but Scalr seems to have a better and simpler UI.

But on the editor side, there doesn't seem to be much... the VSCode extension has been forked but it still seem to be in its early days (cf. this issue: it still uses terraform-ls under the hood, which itself looks for the terraform binary).

 

Quand on devient parent, lire une histoire chaque soir à ses enfants fait partie des missions de base. Certains pédiatres disent même que c’est aussi important que de leur donner du lait. Pour les calmer, développer le langage, l’imaginaire, les faire rêver et réfléchir. Mais que faire des histoires glauques ou violentes qu'on nous a racontées mille fois quand on était petits ? La chèvre de Monsieur Seguin qui finit déchiquetée par le loup parce qu’elle n’a pas voulu rester sagement attachée à son piquet. Le Petit Chaperon rouge qui se fait dévorer toute crue parce qu’elle n’a pas écouté sa maman. Ou encore La Petite Fille aux allumettes qui meurt carrément de froid sur le trottoir un soir de Noël. Doit-on transmettre ces récits sous prétexte qu’ils font partie de notre tradition culturelle ? Quels messages subliminaux envoient-ils à nos enfants ?

Ces questions se posent d’autant plus quand on a des filles : a-t-on vraiment envie de perpétuer les injonctions larvées des contes où c’est systématiquement la plus jolie et la plus gentille du royaume qui s’en sort en chopant le prince charmant ? Faut-il réveiller la Belle au bois dormant ? Canceler le petit Chaperon Rouge ? Réécrire une version où Cendrillon chausserait du 42 ?

Toutes ces questions de mère angoissée, Delphine Saltel les soumet à la professeure de littérature Jennifer Tamas. Elle est spécialiste des 17ᵉ et 18ᵉ siècle, l’époque des frères Grimm et de Charles Perrault d’où provient une bonne partie des contes et des histoires que l’on raconte encore aujourd’hui aux petits. Elle s’intéresse aux questions de "cancel culture" parce qu’elle enseigne aux États-Unis, dans une université du New Jersey, face à des étudiants qui souvent se méfient des valeurs que véhicule notre passé littéraire. Elle milite pour une relecture attentive de cet héritage, et nous incite à décaper le sens des textes encroûtés sous le vernis des interprétations successives. Exemples à l’appui, elle démontre magistralement que, derrière l’histoire littéraire officielle et les blockbusters de Walt Disney, se cache une foule d'héroïnes et d’autrices oubliées, une sorte de “matrimoine” qu’il est urgent de redécouvrir.

Avec Jennifer Tamas, agrégée de Lettres modernes et professeure de Littérature française à Rutgers university (New Jersey). Autrice de « Au NON des femmes, Libérer nos classiques du regard masculin », Seuil, 2022

35
submitted 1 year ago* (last edited 1 year ago) by [email protected] to c/python
 

This is like Interface in Go (or Java, i don't speak Java but the article say so).

 

TLDR: terraform bad, pulumi good

view more: next ›