CinéSéries

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[Serie] Série coréenne : "Parasyte: The Grey" ou le libre-arbitre contre les communautés de pouvoir

@cineseries

asialyst.com/fr/2024/10/04/serie-coree-du-sud-parasyte-the-grey-libre-arbitre-contre-communautes-pouvoir/

Parasyte: The Grey est donc un œuvre inattendue et n’existe probablement que par la renommée de son réalisateur Yeon Sang-ho. Une renommée qui lui a permis de jouer sur un célèbre manga japonais bankable, écranisé plusieurs fois déjà (animation et films) pour revenir sur ses thèmes de prédilections : la société contre l’ego, le père ravagé et la fille innocente, l’aliénation religieuse crypto-fasciste, auquel il ajoute une réflexion existentialiste venant miner les fondements du spécisme comme support des idéologies identitaires normalisatrices.

#SerieTV #Parasyte #YeonSangHè

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submitted 3 weeks ago* (last edited 3 weeks ago) by [email protected] to c/[email protected]
 
 

Joker : folie à 2 (pas de spoil, merci)

@cineseries

Alors vous avez vu le film ? Il vous a plu ? À vos claviers petits monstres ! ❤️🤡

#film #cinema #Joker #LadyGaga #JoaquinPhoenix #ToddPhillips

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Scenarios usuel mais bien mene. La ou la série brille c'est l'ambiance de ouf et les relations familiales inhabituelles, simplement parce-que pas française ou hollywoodienne.

Un rythme lent, des persos qui se construisent doucement pour devenir attachants, et un marteau.

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Comment choisir un film adapté à l’âge de son enfant ? Le cinéma regorge de pépites pour le jeune public. Mais comment les trouver parmi la multitude de films et de dessins animés et savoir si elles correspondent à l’âge de nos enfants ? Voici quelques repères pour viser juste.

Via : https://www.parigotmanchot.fr/forums/shaarli/films-pour-enfants-pour-quel-age/

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Je découvre la série en plein mission de la dernière saison. Le résumé me montre bien que la tension est à son comble. Un vieil ennemi est revenu en ville et a capturé une femme importante de la vie du personnage principal. Avant le début de l'épisode, je suppose deux choses fausses :

  • Le personnage principal est Mr Robot. Je me rends compte rapidement que le personnage est la personnalité principale. Mr Robot, une seconde personnalité jouée par un acteur différent.
  • La femme dans sa vie est sa petite amie. Il s'agit en réalité de sa thérapeute.

Peu importe, l'épisode est construit pour qu'on puisse le suivre facilement sans beaucoup d'information. Je m'attendais à un rythme soutenu, crescendo un peu comme pour l'épisode de The Shield. Il n'en ai rien. L'épisode est très capable. La tension liée à la place de cette intrigue dans la saison est palpable mais n'influe pas sur sa vitesse. L'épisode va à son propre rythme, calme au début, puis plus rapide au fur et à mesure des péripéties avant un dénouement finale. C'est très théâtral, mais de façon différente de l'histoire de l'épisode de Inside No 9, où les acteurs jouaient comme des acteurs de théâtres. Ici, c'est la caméra qui apporte l'effet théâtrale. L'épisode est découpé en actes. Il est écrit en gros sur l'écran "Acte 1" quand l'acte 1 commence. "Acte 2" quand l'acte 2 commence. Au début de chaque scène, la caméra filme un plan large qui met un valeur le placement de chaque personnage et le fait que l'épisode est tourné sur un plateau. Plus tard, les zooms et les différents placements de caméras seront indistinguable d'une série "classique".

L'histoire tourne autour de la raison pour laquelle Mr. Robot, cette seconde personnalité est apparue. La réponse est assez facile à deviner mais ne retire rien à l'épisode. La chute fait basée brutalement la tension et apporte son nouveau lot de problème. L'épisode se termine de façon satisfaisante tout en donnant envie de regarder le prochain.

Est-ce que tous les épisodes donnent ce genre de ressentie ? ça m'a beaucoup plus.

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Oui, oui, je sais à l'origine c'était pas l'épisode 1 mais c'est le premier épisode qui a été diffusé. Non ?

Je pensais que j'aurais plus de chose à dire mais pas vraiment. Firefly mélange la science-fiction à un genre d'aventure. ça marche très bien. Les aventuriers sont sur un vaisseau spacial mais ils évoluent dans un monde qui ressemble au far west en remplissant des quêtes pour gagner de l'argent. Le décor est rapidement posé, les relations entre les personnages aussi. L'épisode se termine de façon très intéressante avec le début d'une histoire en fil rouge.
Honnêtement, j'ai déjà oublié ce qu'était la mission du jour. L'équipage devait transporter des caisses pour un type dans un train, je crois. Mais c'est pas l'important. Dans ce genre de série, l'important c'est l'ambiance et elle est réussie.

Je n'ai pas eu l'impression que la série révolutionnait le genre mais en même temps, je la regarde avec 20 ans de retard. Je ne suis rentré dedans. Il faut dire qu'en ce moment, je suis déjà plongé dans une autre série où c'est l'ambiance générale, l'univers qui compte : Supernatural. Mais je comprends les fans. Je sens qu'un jour où j'aurai mon planning télé un peu vide, je vais revenir sur cette série et la binger pour me dire ensuite : "Comment ça il n'y a qu'une saison ??"

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Love, Death and Robots avec un nom pareil, je m'attendais à une histoire de SF, peut-être du cyberpunk avec des robots inoffensif au début mais qui finissent des devenirs dangereux. Je n'y étais pas du tout...

C'était une histoire de sirène. Très intéressante et sans dialogue encore une fois. Il n'y avait pas non plus beaucoup de musique. La plupart des scènes étaient remplis par des bruits de la nature où se déroule la scène et le cliquettement des métaux. C'était très agréable. L'animation ressemble à ce qu'on voit dans les jeux-vidéos. Je n'en connais pas le nom. C'était assez perturbant pour moi au début qui ne connaît pas trop ce style mais c'était très beau.
D'après Wikipédia, il y a une équipe d'animation différente pour chaque épisode de cette série anthologique. Je suis curieux de savoir comment on peut fidéliser des téléspectateurs avec une histoire différente et un style visuel différent à chaque épisode... Mais si chaque épisode a le niveau de celui-ci, ils vont me fidéliser sans problème.

C'est une cavalerie toute en armes qui arrivent au bord d'un lac. Là, un des cavaliers qui puise de l'eau y trouve une petite écaille d'or. On dirait un élément d'un bijou plus que la trace d'un filon aurifère. Alors qu'il regarde l’écaille, une femme complètement couverte d'or et de bijoux emerge du lac. Elle commence à séduire les soldats avec un son envoûtant. Non, seulement son chant, ou plutôt ses cris, attirent les cavaliers à l'eau mais également sa dance qui fait sonner ensemble ses nombreux ornements. Les écailles d'or cognent les unes contres les autres, les bracelets, colliers et chaînes tintent en rythme et les plaques d'or qui cachent sa peau cliquettent sur ses articulations.

Les soldats charmés tirent leurs épées et se précipitent dans une dance mortelle vers le centre du lac pourfendant tout leurs camarades qui ont le malheur d'être moins rapide qu'eux. Notre soldat, lui, reste sur le bord et observe complètement paniqué ses frères d'arme s'entretuer pour être celui qui coulera sous le poids de son armure au centre du lac.
Il est sourd !

La sirène tente de le charmer. Elle dance encore, elle s'époumone, crie à se blesser la voix mais rien n'y fait. Il s'enfuit. Plus tard, bien en amont du cours d'eau, il aperçoit beaucoup plus près de lui la sirène qui la suivi à travers les rivières. Tout son corps n'est qu'un ensemble de bijoux, même son visage est caché par un masque ornés de boucles et de pierres.

La nuit tombe et le soldat dort, son épée nue à côté de lui. La sirène ose s'approcher encore plus, elle sort de la rivière et dance encore. Il dort. Elle s'approche jusqu'à le toucher mais même son contact ne semble rien lui faire. Peut-être est-il protégé par son épaisse armure de fer.

Notre héros se reveille pour trouver la sirène endormie à ses côtés. Il la prend dans ses bras. Sa parure semble faire partie de son corps, là où des écailles sont tombées, un peu de sang coule. La sirène se laisse examiner par le soldat. Ils échangent un baiser. La bouche du soldat est en sang mais il l'embrasse à nouveau, mais au lieu de la suivre dans l'eau, voilà qu'il l'attrape solidement et commence à lui arracher le trésor qu'elle porte comme peau. Elle crie, elle supplie, elle chante mais rien n'y fait. Ses chaînes sont dégrafées de sa chair, ses écailles arrachées par poignée. Il la décortique de ses plaques d'or, comme si c'était un crustacé qu'on dépouille vivant de sa coquille. Il va mettre jusqu'à lui arracher le masque qui lui sert de visage !
Quand il reste rien à prendre, il sert tout son butin dans un ballot, rejette le corps inanimé de la sirène à l'eau et reprend sa route. Autour de la sirène, la rivière se teinte de son sang et son corps se brise sur chaque rocher des rapides qui l'entraîne. Mais alors...

Alors, cette publication est déjà trop longue et ma plume de débutant ne rend pas hommage à cette histoire dignement. Allez regarder l'épisode si vous voulez connaître la fin. Croyez-moi, vous ne serait pas déçu ! En plus, il ne dure même pas 20 minutes.
Et vous pourrez peut-être me dire ce que veut dire "Jibaro" (^_^)

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Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que j'ai vu.

On aurait cru un essai d'animation d'un youtubeur au budget limité et l'humour absurde mais non, c'est une série télévisée.

Le générique est visuellement différent du reste de l'épisode. C'est une ville qui brule.
Et l'histoire c'est celle d'une souris, qui a l'air d'un rat vert, aussi désagréable que Ratus mais également alcoolique. Il cherche un emploi mais je ne sais pas trop pourquoi parce qu'il n'a l'intention ni de faire son travail ni d'y gagner de l'argent. Il passe un entretien d'embauche avec un requin et l'horloge commence à fondre. Il est pris et prend son avion de chasse... Je vous ai dit qu'il conduit un avion de chasse pour ses déplacements quotidiens ? Il prend son avion de chasse et assassine son client. Puis il va boire, même s'il avait déjà bu avant et cambrioler une banque, puis il va boire et je crois qu'un policier meurt à un moment mais je me souviens mal. Puis il va boire et il décide pour cacher le fait qu'il cambriole les banques, il devrait prendre un emploi.
Ah... Et le requin est tombé de sa table, il a eu du mal mais il a réussit à remonter mais après il était mal calé et il glissait progressivement. ça m'a fait rire.
Bref : ça n'a ni queue ni tête. Un épisode c'est marrant mais je ne comprend pas comment une audience a pu être réunit autour de ce truc pendant 3 saisons.

Visuellement, c'est volontairement moche. Les décors sont très simples avec beaucoup de passant mort parce qu'ils ont eu la mauvaise idée de passer. Ce n'est pas assez réaliste pour être effrayant, sauf la gerbille. Il y a une affreuse gerbille qui couine et grince en sautant de façon terriblement effrayante, j'ai rarement vu un truc pareil. Elle me donne des frissons terribles.

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Wahou ! Je suis scotché.
C'était théâtral. Dans tous les sens du terme. Ça avait une mise en scène qui rappelait plus le théâtre que la télé classique. J'ai ri, jusqu'aux éclats à certains passages. J'ai été surpris choqué ; horrifié parfois. Dès le début, quelle surprise de comprendre qu'il n'y aurait aucun dialogue dans l'épisode ! Tout est visuel mais j'ai tout compris.

Ce n'est pas pompeux pour deux sous mais comique avant tout ; tout en nous laissant quand même le droit de suivre le drame du foyer.

À la toute fin, j'ai réussi à trouver intéressant d'entendre un personnage dire une phrase banale... Et la chute... Quand j'ai cru voir une excellente chute, j'ai eu le droit à une autre derrière !

L'histoire tient entière sur ce seul épisode puisque la série est une anthologie d'épisodes indépendants.

Ah ? L'histoire me demandez vous ? C'est l'histoire de deux cambrioleurs qui tente de s'infiltrer dans une maison en présence de ses habitants pour y dérober une toile d'apparement grande valeur qui trône au milieu du salon, une toile complètement blanche.

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[documentaire] Toubib et humain

@cineseries

www.politis.fr/articles/2024/08/cinema-antoine-page-toubib-et-humain/

Tout l’intérêt du film vient des commentaires qu’Angel confie à son frère avec d’autant plus de facilité que leur complicité est patente.

Voici un film dont le projet initial s’annonçait plus que hasardeux. Antoine Page, le réalisateur, a dû autofinancer une grande partie de son tournage. Celui-ci a duré douze ans, car il a décidé de filmer son frère, Angel, du début à la fin de ses études de médecine, tout en n’ayant aucune certitude sur le fait qu’il irait plus loin que la première année. Finalement, Toubib existe bel et bien et s’avère être un documentaire passionnant.

#politis #documentaire #cinéma

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La pression est lourde sur les épaules du personnage principal. C'est un détective de police impliqué dans des embrouilles avec la mafia arménienne. Sa famille est menacée. Un procès l'attend au tournant alors même que sa hiérarchie ne connaît pas le dixième de ce qu'il a fait.... une situation assez typique pour un policier "honnête" états-uniens après 7 saisons à la télé.
Il doit absolument se sortir de sa situation en évinçant ses ennemis du haut de la chaîne alimentaire criminelle sans déclancher une guerre des gangs qui lui sera fatale.
Son seul alié est un flic encore plus pourri que lui ; à tel point que je n'ai compris qu'il était flic que quand il est allé faire un rapport dans le bureau de la commissaire. Et justement aujourd'hui, il y a eu deux meurtres dans la ville ! Le commissariat déborde de monde puisqu'un collègue décide de placer tous les habitants d'un immeuble en garde-à-vu et le maire a décidé de publier un top dix des pires gangs de la ville, ce qui les incite à se mettre en compétition pour la première place.
Et voilà que Al-Qaïda serait méler à un des meurtres.

Il finira pas éloigner le témoin génant de ses trafics et a retourné contre lui le chantage d'un de ses maîtres chanteurs mais il est loin de s'être sortie de la situation.
ça promet un fin de saison, et de série, explosif.

Le + --> De la répartie et pas mal de jeu de mot.
La faute éliminatoire --> L'insulte gratuite aux musulmans. On se serrait cru une seconde dans NCIS.

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J'avais déjà vu passé des morceaux de Rick et Morty et je savais que ce n'étais pas pour moi mais je ne m'attendais vraiment pas à ce que j'ai vécu hier. Désolé pour tous les fans mais je hais ce truc.

Non, seulement je l'abhorre du plus profond de mes tripes mais je veux le détester également ! C'est simple, je n'ai rien aimé : Ni les voix des personnages (je regardais la VO), ni le rythme effréné de l'épisode, ni le caractère des protagonistes. Les 5 premières minutes, je luttais pour ne pas éteindre la télé. J'avais l'impression que quelqu'un faisait grincer ses ongles sur un de mes nerfs !
Chaque personnage m'a déplu mais aussi comment ils se parlent entre eux. À chaque fois qu'un nouveau membre de la famille ouvrait la bouche, je me disais qu'il y a des baffes qui se perdent.
C'est loufoque, oui. C'est absurde, certes... mais ce n'est pas drôle. Je n'ai pas souris à un seul moment, non pas parce que je n'ai pas aimé les blagues mais plutôt parce que je n'en ai vu aucune passé. C'était une collection de moment qui se suivent chronologiquement et qui n'ont souvent pas vraiment de transition de l'un à l'autre.
Ah et les graphiques étaient moches. Les bouches avaient 5 positions max, les visages à peine plus. J'ai eu l'impression de regarder une BD.

Bref... Je retenterai plus jamais.

Mais vous ? Qu'est-ce qu'il vous plaît là-dedans ? Qu'est-ce que j'ai manqué qui réussit à plaire à tant de gens ? Je ne suis pas contre l'humeur absurde, je ne regarde pas que des séries où les perso sont tout beaux tout gentils et tout polis. Alors quel est l'attrait de cette série auquel je suis apparemment complètement hermétique ?

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[JREP]?
C'est l'histoire de deux détectives de la police louisianaise qui enquête sur un meurtre avec un cadavre mis en scène par son tueur. En réalité, l'enquête est en flashback et nous sommes 17 ans plus tard quand des policiers d'un autre département viennent interroger les deux enquêteurs sur cette vieille affaire. C'est plus un interrogatoire qu'une demande d'information et les questions sont plus orientées sur la personnalité du détective adjoint que sur l'enquête même. Le détective principal est un gars pas trop détestable mais c'est le genre de collège qui insiste trop pour établir une relation amicale en plus de la relation professionnelle. Quand il se rend compte que les valeurs de son collègue, ses valeurs religieuses notamment, ne sont pas alignées avec les siennes, il lui fait bien comprendre qu'il ne veut pas en entendre tant, mais qu'il compte quand même construire une sorte de relation sociale amicale très superficielle.
Le détective adjoint ne vaut pas mieux. Il est plutôt introverti mais au lieu de dire à son collègue qu'il ne veut que d'une relation professionnel, préfère lui balancer toute sa vision du monde d'un seul bloc et de façon brutal histoire de lui faire comprendre "tu vois, on n'est pas fait pour s'entendre, travaillons seulement". Il a des problèmes dans sa vie, il souffre d'alcoolisme, vit très mal le deuil de sa fille et n'a apparemment ni famille, ni ami, ni lieu de vie décent. Son appartement n'a qu'un lit, il prend de la drogue pour avoir un semblant de sommeil le soir.

Le contrast entre ses deux versions à 17 ans d'intervalle est flagrant. Plus jeune, il était très propre sur lui, minutieux et restait sobre de son mieux. Lors de l'interview, il fume en intérieur, réclame des bières à midi, parce que c'est l'heure à laquelle il commence à boire, à une coupe de cheveux négligé, etc.

Les autres policiers se renseignent sur lui parce qu'un deuxième meurtre a eu lieu, très similaire au premier même dans détails tenus secrets de la presse.

Il reste 3 épisodes pour découvrir l'enquête sur le premier meurtre avec les flashbacks et celle sur le second dans le présent. La saison d'après raconte une autre histoire tout comme la saison suivante et celle d'encore après.

Les personnages marmonnent pas mal et ils ont tous un accent différent: texan, louisiannais, afroaméricain. Il faut suivre en VO.

Rien à dire sur l'humour puisqu'il n'y en a pas. C'est un pilote donc je n'étais pas perdu dans l'histoire.

J'ai envie de regarder la suivre pour savoir ce qui s'est passé pendant l'enquête initiale et l'histoire est suffisamment courte donc pourquoi pas.
Je n'aurais pas regardé tout seul.

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Le congrès, Ari Folman (peculiar.florist)
submitted 2 months ago* (last edited 2 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 
 

Le congrès, Ari Folman

@cineseries
invidious.fdn.fr/watch?v=clVUC-4BsjUw

Ari Folman vous dira surement rien mais c'est le réalisateur de Valse avec Balchir.

Le congrès, c'est un film futuristique qui narre l'histoire de Robin Wright, une actrice en arret qui bichonne de ses enfants. Elle porte aussi un lourd trauma ayant entrainé la fin de sa carrière.

Et, un jour, pour son fils qui souffre d'une maladie dégénératives, elle accepte de se faire scanner pour des megacorpos avec ses conditions : pas de porno, ni de nazisme...l'équivalent de notre IA, metaverse, deepfake...

Elle devient une actrice numérique sans aucun controle sur son personnage, ni les opinions politiques.

20 ans plus tard, elle est invitée à un congrès. On passe à une autre étape narrative : un psyunivers en dessin animé.

Des dessins animé style retro où le mental devient le chef d'orchestre de ce scénario animé.

Ce film était juste bien. je me suis endormi, j'ai pas été emballé. pas transcendant mais yavait des questions très intéressantes concernant le droit à l'image, l'intelligence artificielle...de la même veine que Ghost in the shell.

Des questions qui m'ont plus dans ce scénario avec un agent et un directeur qui parle sans fard et ont des gueules de mafieux.

Je n'ai rien compris à la fin volontairement laissé ouverte.

#Film #AriFolman #LeCongré #ScienceFiction #IA #RobinWright

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publication croisée depuis : https://peertube.s2s.video/videos/watch/14f6318b-ac08-4cc9-8fd2-e0170dc81bcc

Titre original : Fais-moi signe > Année : 1984 > Pays : France > Durée : 16 min > Résume : Ce film décrit la mise en image de la poésie gestuelle créé par des acteurs non-entendants et leurs relations dans la communication quotidienne. > Réalisateur : Malgosia Debowska > Avec : Levent Beskardes (sourd), Alfredo Corrado (Sourd), Victor Abbou (Sourd), Joel Liennel (sourd), Michel Girod (sourd), Josette Bouchauveau (Sourde), Evelyne Sebag (Sourde), Isabelle …… (Sourde), Isabelle …… (Sourde)

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Gueules noires (fr.web.img6.acsta.net)
submitted 3 months ago* (last edited 3 months ago) by [email protected] to c/[email protected]
 
 

Un film d'horreur français prenant place dans les mines de charbons du nord de la France. les personnages sont très bien caractérisés et pour la plupart attachants.

Semi-divulgâchageJ'ai bien aimé les références à l'univers de Cthulhu, d'autant plus que je suis en train de lire les livres.

DivulgâchageLa créature fait un peu pantin parfois mais je l'ai trouvée assez réussite quand même. Surtout que c'est une vraie marionette et pas de la 3d (en tout cas s'il y a de la 3d, je ne l'ai pas repérée).

Bref un bon film, donc si ça vous intéresse, n'hésitez pas!

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